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Safaris à cheval au Zimbabwe

Avis aux voyageurs insatiables d’aventure, un safari à cheval au Zimbabwe; c'est l'occasion unique de découvrir ce pays largement méconnu qui offre un grand spectacle de la nature. Son territoire immense, vierge et sauvage accueille chaque année une poignée de voyageurs curieux au nord du pays dans la réserve de Mana Pools, le long du fleuve Zambèze, classée au patrimoine mondial. Partez à la découverte de cette terre d'Afrique australe, propice aux grandes randonnées à cheval. Le Zimbabwe n’est pas la destination de ceux qui veulent pister les Big Five à tout prix; mais faire un safari équestre au Zimbabwe, c’est retrouver l'ambiance des premières grandes explorations.
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L'avis des cavaliers

  • Hwange, sur la terre des géants
    juin 2023 François 63 ans
    très belle expérience, très belle ambiance entre autre grâce à l'encadrement, la logistique des camps et la nourriture.
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  • Hwange, sur la terre des géants
    juin 2023 Zoé 34 ans
    Le safari a été une magnifique aventure immersive gravée à vie dans mes mémoires. D'innombrable animaux observés (Lions, Elephants, Hippopotame, Zèbres, Kudus, différents oiseau, Gnous.. ) et surtout dans des scènes naturelles d'une incroyable beauté. Nous avons été reçu royalement par une équipe d'une extrême... Lire en entier
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    Fumée des chutes Victoria

Visa & santé

Formalités

Passeport en cours de validité, valable 6 mois après la date de retour pour les ressortissants français, belges et suisses. En complément, il faut que le passeport comporte deux ou trois pages vierges (selon les vols avec escale), pour recevoir les cachets d’entrée et de sortie. Pour les autres nationalités, se renseigner auprès du consulat ou de l’ambassade.

Pour les passeports français, pour l’entrée ou transit en Afrique du Sud, seuls ceux lisibles en machine (biométriques et électroniques) ou non lisibles en machine (à lecture optique, type « Delphine ») mais délivrés après le 24 novembre 2005 sont acceptés.

Pour vous aider à identifier le type de passeport français dont vous êtes titulaire, vous pouvez consulter le site Service- public https://www.service-public.fr/

Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. A partir du 15 janvier 2017, l'autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l'un de leurs parents. Les mineurs voyageant dans ces conditions devront présenter : carte d'identité ou passeport (selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire sera accessible sur le site Service- public https://www.service-public.fr/; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.

Il est important de le noter que si vous faîtes escale et êtes en transit par l’Afrique du Sud et si vous voyagez avec un mineur, il pourra vous être demandé de respecter les formalités d’entrée des mineurs en Afrique du Sud qui sont décrites sur le site du Quai d’Orsay accessible depuis le lien suivant. Ces pièces prouvant la filiation du mineur avec les autres personnes voyageant avec lui sont indispensables, certaines compagnies aériennes les exigeant dès l’embarquement depuis votre point de départ. Il est donc très important de suivre les recommandations suivantes : Conseils sur France Diplomatie https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays-destination/afrique-du-sud/#entree

De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent être en mesure de les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.

Visa
Visa obligatoire pour les ressortissants français. Pour les autres nationalités, se renseigner auprès du consulat ou de l'ambassade.
Il est possible d'obtenir un visa sur place (entrée simple, 30 dollars US ; deux entrées, 45 dollars US ; règlement en dollars et en espèces).

Conseils pour l'obtention du visa

Le visa peut être délivré soit à l’Ambassade du Zimbabwe à Paris, soit au point d’entrée (aéroport d’Harare, Bulawayo ou de Victoria Falls notamment). Les visas à entrées multiples peuvent être obtenus à l’Ambassade du Zimbabwe à Paris ou au service de l’immigration à Harare. Il n’est délivré, aux points d’entrée, que des visas pour une ou deux entrées. Le visa coûte 35 USD pour une simple entrée, 45 USD pour deux entrées et 55 USD pour un visa à entrées multiples. Les enfants mineurs porteurs d’un passeport ordinaire individuel sont également soumis à l’obligation de visa, ceux figurant sur le passeport de leurs parents en sont dispensés. Il convient de prévoir le montant exact en billets de banque en cas de paiement à l’aéroport.

Adresses des consulats

  • Ambassade du Zimbabwe en France
    10 Rue Jacques Bingen
    75017 Paris
    Tél. : 01 56 88 16 00
    Fax :

Santé

Attention au risque de paludisme : prenez un traitement préventif et utilisez des répulsifs, surtout si vous vous rendez dans les zones chaudes et humides du pays (lac Kariba, vallée du Zambeze).
Concernant les vaccinations, un certificat de vaccination de la fièvre jaune est exigé pour les voyageurs en provenance d’une zone infectée ; la mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-polimyélite est recommandée en incluant Rubéole Oreillons et Rougeole chez l'enfant ; la vaccination antituberculeuse est également souhaitable.

Il y a une présence (très circonscrite) de la mouche Tsé-Tsé sur le site touristique de Mana Pools (moyenne vallée du Zambèze) mais le risque de contracter la maladie du sommeil reste toutefois infime.

Attention à votre alimentation et ne buvez pas l'eau du robinet ! Évitez les baignades dans les eaux stagnantes, de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides et ne caressez pas les animaux que vous rencontrez.

Assurance

Si vous ne souscrivez pas notre assurance ASSISTANCE RAPATRIEMENT et ANNULATION, nous vous demandons de signer une décharge de responsabilité et de vérifier que vous êtes assurés par ailleurs.

Vérifiez les garanties souscrites et les processus de déclenchement, et emportez avec vous le NUMERO DE TELEPHONE d’URGENCE de votre assurance.

Informations pays

Carte d'identité du pays

Capitale : Harare
Nom officiel : République du Zimbabwe
Superficie : 390.580 km2
Langues officielles : anglais, shona, ndebele
Population : 16.15 millions

Données socio-économiques

Hydroélectricité abondante : barrages de Kariba et Cahora Bassa sur le Zambèze.
Richesses minières : or, amiante, charbon, nickel.
Agriculture : sécheresse en 1992. Redistribution des terres aux agriculteurs noirs. Maïs, millet, arachides, et tabac. La balance agricole est légèrement excédentaire.
L’industrie manufacturière est développée et diversifiée mais elle manque d’investissements.

Croissance démographique : 3 %. Indice de fécondité : 3,6 %.
Taux d'alphabétisation : 83,6%
PIB (2016) : 14 Mds USD
PIB par habitant (2016) : 977 USD
Taux d’inflation : + 2,5% (2016).
Taux de chômage : estimé à 85%
Principaux partenaires commerciaux (2015) :
Fournisseurs : Afrique du Sud, Zambie, Chine, Inde
Clients : Chine, RDC, Botswana, Afrique du Sud.
Structure du PIB (en %) :
- agriculture : 14 % - industrie : 29 % - service : 57 %.
Montant des exportations (1) : 1,96 Mds $ (2001).
Montant des importations (1) : -1,90 Mds $ (2001).
Production d’énergie (2) : 8,53 Million de TEC.
Consommation d’énergie (2) : 9,88 Millions de TEC.

Histoire

1502 : L'explorateur portugais Vasco de Gama débarque sur la côte Est du Mozambique, suivi peu de temps après par des négociants. Les portugais étendent progressivement leur emprise sur l'intérieur des terres.

1888 : Cecil John Rhodes obtient frauduleusement l'exploitation des mines pour le compte des Britanniques ainsi que la colonisation des terres situées entre le Limpopo et le Zambèze. Deux ans plus tard, appuyé par une armée de 500 hommes et un contingent de colons, il part vers le nord en direction de Mashonaland et fonde Fort Salisbury.

1891 : protectorat britannique.

1895 : Le nouveau pays s'appelle désormais la Rhodésie. Peu de temps après, les Shona s'allient aux Ndebele, pourtant leurs ennemis traditionnels, pour lancer la croisade appelée Chimurenga (la "guerre de libération"), qui sera mise en échec après l'arrestation puis la pendaison de ses dirigeants.

1923 : autonomie sous le nom de Rhodésie du sud.

1934 : Une législation sociale, succédant à une loi de répartition de la terre, interdit aux Noirs de pratiquer toute profession spécialisée ou de s'implanter dans les zones blanches.

1953 : fédération avec la Rhodésie du nord.

1965 : proclamation de l’indépendance contre la volonté de la Grande-Bretagne et de l’ONU.

1970 : le pays devient une République.

1970-79 : luttes diplomatiques contre la Grande-Bretagne, l’ONU et les USA, qui réclament l’abolition des lois raciales.

1979 : abolition des lois raciales. Nouvelle constitution, élections multi-raciales : Josiah Guémédé devient le premier président noir du pays.

1980 : après un éphémère retour au statut de colonie britannique, le pays accède pleinement et légalement à l’indépendance. Il prend le nom de Zimbabwe.

1987 : Robert Mugabé est élu président.

1990 : levée de l’état d’urgence en vigueur depuis 1965.

1992 : réforme agraire : nationalisation de la moitié des terres des blancs, 4 millions d’hectares.

1996 : élections législatives remportées par le parti du président (Zanu-PF).

2000 : Dans le cadre de la réforme agraire, le ZANU-PF incite les "vétérans" (anciens combattants de la guerre d'Indépendance) à occuper les propriétés des fermiers blancs. Ces invasions s'accompagnent de violences à l'encontre des propriétaires blancs et des ouvriers agricoles noirs.

2001 : Deux lois sont votées pour restreindre les libertés de l'opposition, accusée de servir la minorité blanche. Des groupes armés du ZANU-FP s'en prennent aux entreprises et aux syndicats proches du MDC, tandis que l'invasion des fermes de Blancs se poursuit dans un climat de violence raciale.

2002 : Trois ans après le début de la politique de la réforme agraire, l'ex-grenier à grain de la région est confronté à la famine qui menace plus de 7 millions de personnes.

2003 : Grave crise agraire et politique suite à l'expropriation par Mugabe des fermiers blancs.

2004 : Suite à la crise agraire, 70% de la population se retrouve sans emploi. Le Zimbabwe se retire du Commonwealth.

2005-2007 : Victoire frauduleuse du ZANU-FP aux élections législatives. Adoption d'une réforme constitutionnelle restreignant les droits de propriété et permettant au gouvernement de priver n’importe qui de passeport pour raisons "d’intérêt national". Création d’un Sénat de 66 membres, en fait une simple chambre d’enregistrement au service du Président Mugabe. L’inflation dépassait les 1 000 % en 2006, et les 100 000 % en 2007. L’exode de la population vers les pays voisins s’accélère.

2008 : En janvier 2008, le taux de l’inflation annuel atteint le chiffre record de 100 580,2 % alors que le taux de chômage approche les 80 %.
Le second tour de l’élection zimbabwéenne s’est déroulé le 27 juin 2008 et M. Mugabe, seul candidat en compétition, a été déclaré élu par la Commission électorale du Zimbabwe, avec 85,5% des suffrages exprimés. La situation post-électorale reste très incertaine. De nombreux cas de violences continuent à être rapportés. Sur le front économique et social, la crise se poursuit et les pénuries sont très sérieuses (carburants, nourriture, billets de banque, etc.).

Les élections présidentielles et législatives du 29 mars constituent un revers historique pour le pouvoir en place. Le MDC remporte la majorité absolue des sièges à l’assemblée nationale (109 élus contre 97 élus à la ZANU). Publiés le 2 mai, les résultats de l’élection présidentielle sont contestées. En obtenant officiellement près de 48 % des suffrages en dépit des fraudes, Morgan Tsvangirai devance néanmoins Robert Mugabe (43 %). Lors de la campagne du second tour, le pays est le théâtre de violences politiques continues, marquées par des atrocités commises par la police d’État contre des membres de l’opposition et leur famille mais aussi par l’arrestation de ses principaux chefs. Dans ce climat, bien que vraisemblablement majoritaire dans le pays mais craignant pour ses partisans menacés de représailles sanglantes, Morgan Tsvangirai décide à cinq jours du second tour de l’élection présidentielle de boycotter celle-ci, permettant ainsi à Robert Mugabe d’être réélu.

février 2009 : Morgan Tsvangirai a été nommé au poste de Premier ministre par Robert Mugabe. Le poste de Premier ministre n'existant plus alors, il a été recréé pour l'occasion.

2010 : Une loi qui prévoit le transfert de 51% du capital des entreprises étrangères à des Zimbabwéens de souche entre en vigueur.

2013 : Mugabe est réélu président.

Géographie

Etat de l'Afrique australe limitrophe de la Zambie au nord, du Mozambique à l'est, de l'Afrique du Sud au sud, et du Botswana à l'ouest.
La plus grande partie du Zimbabwe est constituée de plateaux culminants entre 900 et 1700 mètres d'altitude. Sa longueur maximale est de 725 kilomètres (Est-ouest) et de 840 kilomètres (Nord-sud) pour donner une superficie de 390 580 km2.

On distingue trois zones géographiques principales.
Les Eastern Highlands, région montagneuse à la frontière Ouest (Mozambique) avec le Mont Inyangani pour point le plus haut (2592 mètres).
Le lowveld, au sud qui se caractérise par de la savane jaune paille à partir du sud du fleuve Save jusqu'au Limpopo (grand fleuve au sud du Zimbabwe)
Les plateaux du nord qui descendent doucement de plusieurs chaînes de montagnes vers le Zambèze et se caractérisent par du bush et des affleurements rocheux.

Point culminant
Le Mont Inyangani, plus haut sommet du pays, culmine à 2 592 mètres et longe la frontière orientale.
Superficie
390 580 km², soit 0,7 fois la taille de la France.

Peuple, culture et traditions

Religion :
Si de 40 à 50% de la population fréquentent des églises chrétiennes, cette pratique est en fait un hybride de foi chrétienne et de croyances traditionnelles.

La majorité de Zimbabwéens professent des croyances ancestrales. Le culte mwari, système de croyance animiste monothéiste, prédomine dans le pays au moins depuis l'apogée de Great Zimbabwe. Mwari y est l'être suprême inconnaissable ; il s'adresse à ses sujets humains par le truchement de la "Voix de Mwari", un oracle le plus souvent féminin vivant dans une grotte. Ce fut l'oracle qui reçut l'ordre de commencer la première Chimurenga, en 1896.

Art :
Les visiteurs sont souvent surpris par la diversité et l'extraordinaire qualité des talents artistiques que l'on rencontre au Zimbabwe. Comparés à d'autres pays, les artistes sont plus nombreux et leur position sociale est plus enviable. Il n'est pas rare de trouver des créateurs qui vivent décemment de leur travail.

Les arts traditionnels (poterie, vannerie, textiles, bijoux) reflètent les valeurs spirituelles de la culture dont ils sont issus. Outils et instruments de travail sont conçus pour être à la fois fonctionnels et esthétiques.

La sculpture shona, considérée comme une magnifique expression de l'art africain, mélange thèmes africains et formation occidentale ; ses œuvres sont peuplées d'animaux, de dieux, d'esprits, d'ancêtres et de totems stylisés. Quatre praticiens de cet art figurent parmi les sculpteurs les plus importants du monde (les sculptures de Washington Chifamba, né en 1969 ont fait le tour des musées européens en 1998).

La musique est depuis toujours une donnée importante de la culture traditionnelle. Les récits et légendes, déclamés sur un rythme hypnotisant, sont ponctués de refrains musicaux repris par l'ensemble du public, et chaque événement social est accompagné par un chant de circonstance. Au nombre des instruments traditionnels, citons le marimba (xylophone en bois), le mbira (piano à pouce), le ngoma (tambour cylindrique fuselé) et les mujelele, ou "cloches de pierre".

Quelques mots d'échange

La langue officielle est l'anglais mais seuls 2% de la population le pratiquent comme langue maternelle, le reste parlant l'un des idiomes bantous : shona dans le centre et l'est (76%), sindebele à l'ouest et au sud-ouest (18%).

Particularité de la langue sindebele : les "clicks", qui consistent à retirer la langue des dents de devant puis à la frapper contre le palais (palatale), ou à la déplacer rapidement en un mouvement latéral à partir de la gencive supérieure (latérale).

Les Zimbabwéens ont acclimaté à leur manière la langue anglaise en y incorporant des termes adaptés de l'afrikaan, du shona ou du ndebele.

Bonjour (initial) : mhoro/mhoroi sawubona/salibonani
Bonjour (réponse) : ahoi yebo
Comment allez-vous ? : makadii/makadi-ni ? linjani/kunjani ?
Je vais bien : ndiripo sikona
Merci : ndatanda/masvita siyabonga kakulu
S'il vous plaît : ndapota uxolo
Excusez-moi : pamsoro/ipindeo ngicela ukwedlula
Pardon : pamsoro ngiyaxolisa
Parlez-vous anglais ? : unodziva kutawura chirungu ? uyakwazi ukukuluma isilungu ?
Au revoir (on reste) : chisarai zvakanaka lisalekuhle
Au revoir (on part) : fambai zvakanaka uhambe kuhle
Je voudrais... : ndinoda... / ngicela...
Je suis perdu : ndara tsika sengilahlekile/ngiduhile

Bibliographie

Guide

Le Zimbabwe contemporain
sous la direction de Jean-Louis Balans et Michel Lafon
Karthala - 1995
le Zimbabwe, ancienne Rhodésie du Sud, est devenu indépendant en 1980 à l'issue d'une longue lutte de libération nationale contre le régime des colons blancs dirigé par Ian Smith. Cet ouvrage pluridisciplinaire intervient au moment charnière où les enjeux de l'indépendance se sont transformés en bilans.